Modèles scientifiques de la méthode GDV bioélectrographie

La méthode GDV bioélectrographie se base sur des différentes modèles scientifiques

  1. Modèle physique

Que mesure concrètement la bioélectrographie par l’intermédiaire de la caméra GDV ?

La notion de plasme est issue de la physique du XX siècle. On attribue le nom “plasma” au 4-ème état de la matière qui se rajoute à l’état liquide, solide et gazeux. Le plasma représente le mélange des particules élémentaires  (ions, électrons, photons, protons et autres) qui ne sont pas regroupés par un état monoatomique.

Le flux de plasma part des étoiles et remplis tout l’espace entre les planètes. L’une des particularité du plasma fait que dans la présence des champs électriques les particules du plasma prennent un mouvement ordonné. Les exemples du plasma sont la décharge de la foudre, les aurores boréales. L’énergie du plasma, distribuée par le soleil représente la source de la vie sur terre. Cette énergie, en passant par la photosynthèse, se transforme en composants chimiques  créant ainsi la matière organisée.

Dans la méthode GDV pendant l’application sur l’électrode des impulsions électriques il y a un champ électrique qui se forme et qui tire les électrons de la superficie des objets, pour exemple, du doigt. Quand les électrons se retrouvent dans l’air, ils se heurtent avec des molécules d’air et font sortir d’eux les photons et les électrons. Ceux-là vont reproduire le même comportement ce qui provoque la formation de la décharge – multiplication avalanche qui est enregistré comme la lueur.

  1. Modèle biophysique

Le même flux existe dans les organismes vivants  mais dans ce cas le plasma prend la dénomination “biologique”. Ce plasme n’est pas chaotic mais organisé  et complexe. Il est spécifique comme pour l’organisme en général et pour ses système et ses tissus en particulier. Quand nous étudions le bioplasme, nous étudions l’organisme en son état normale et son état pathologique. L’état du plasma va correspondre aux changement dans l’organisme.

La nature du plasme – c’est le transfert des électrons entre les molécules sur les tunnels qui apparaissent dans le tissus du corps humain et ne sont pas liés avec des fibres nerveuses. Ces électrons existent sous une forme d’une nuage. Le rôle le plus important appartient aux pi-électrons, qui sont capables d’accumuler et transformer l’énergie solaire. Ce sont les mêmes électrons qui réservent dans les plantes l’énergie des photons et qui sont capable de la transférer jusqu’au cellules énergétiques – mitochondries. Après l’énergie se transforme en énergie des liaisons chimiques. Pi-électrons ont reçu le nom des électrons de la vie.

Donc, dans les tissus biologiques apparaisse un courant d’élecrons – le transfert des états activés des électrons sur les chaînes des molécules de protéines. C’est le premier source des électrons dans l’organisme.

Le deuxième source – ce sont des radicaux libres qui se transfèrent avec le flux sanguin. Il se forment à 70 % de l’oxygénè qu’on respire.

Ces deux sources remplissent les réserves d’électrons de l’organisme. Normalement ces nuages des électrons sont distribuées sur tous les organes et les systèmes de l’organisme. Les mitochondries consomment les électrons pour produire adenezin acide triphosphorique, tous les tissus reçoivent l’alimentation des électrons. Sur un GDV-grammes c’est représenté sous une forme de la lueur épais, homogène et large.

Quand des problèmes de l’alimentation par les électrons ont lieu, il va y apparaître des déformations de la lueur des GDV-grammes capturés. Ça va signaler des problèmes des flux des réactions des radicaux libres, donc les défauts de l’alimentation énergétique de l’organisme.

Il existe une hypothèse que les flux des électrons passent par les canaux, connus comme des méridiens qui arrivent jusqu’au points appelé les points acupunctures servant le genre des stations de pompage. Plusieurs de ces points se retrouvent aux bouts des doigts ce qui permet de faire le diagnostic de l’état énergétique des organes.

  1. Modèle psychophysiologique

De point de vue psychophysiologique la méthode GDV mesure l’état et la particularité du fonctionnement du système nerveux végétatif. SNV est un système nerveux autonome dont des fonctions normalement ne sont pas soumises au contrôle volontaire. Ce système gére le travail très complexe des organes intérieurs, des glandes endocrines et autres.

De point de vue de l’approche GDV le réglage de l’organisme est composé de deux mécanismes : du système végétatif et des flux des électrons qui passe à travers des formes actives de l’oxygénè dans le sang.

Système nerveux autonome a deux composants – système nerveux sympathique, qui est associé à la mobilisation de l’énergie en période de stress, et le système nerveux parasympathique qui économise l’énergie.

Le travail équilibré de ces deux mécanismes représente la santé de l’organisme,  le déséquilibre correspond à une maladie. La méthode GDV interprète l’activité du système nerveux végétatif et l’équilibre de ces deux composants : sympathique et parasympathique.

Système nerveux végétatif contrôle l’organisme à la base des signaux venant de l’intérieur comme de l’extérieur, donc reflète toute la gamme des paramètres psychologiques.

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